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bleu-vert et noir sont mes couleurs de thé...
Ma route de thé commence à l'age de 12 ans, lorsque ma chère mère refusa de m'acheter du thé en vrac......j'ai donc du pendant quelques années encore, me "contenter"d'une boisson que certains qualifient encore de thé et dans laquelle baignait quelques secondes auparavant, un sachet de poussière, lui-même relié à un morceau de papier jaune et portant une marque que je ne citerai pas de peur de vous donner la nausée.
Fort heureusement,je ne me suis pas arrêté là.Après de nombreuses années à boire des thés noirs que j'imaginais de très haute qualité au vu du respect et de la condescendance avec lesquels le vendeur de l'épicerie fine me les présentait.Ceylan,Assam, vrai- faux Darjeeling,Chine....tout y est passé, le tout , je dois l'avouer,sans me poser trop de questions.Puis est venu le temps d'internet,des blogs.....
Depuis, vive les oolongs,les noirs de qualité (oui,oui,ça existe le thé noir,et même, çà peut être bon).C'est donc de oolongs et de thés noirs dont je vous parlerai ici.Peut être aussi j'y ajouterai quelques réactions sur l'actualité (par ce que boire du thé n'empêche pas de réagir et que j' ai la chance de vivre en démocratie).J'essayerai aussi d'égayer ce blog par l'adjonction de quelques photos.Bref ,ce blog sera ma petite fenêtre ouverte sur la blogosphère du thé...
Donc, à tous, je souhaite la bienvenue.
4 commentaires:
Une artiste intéressante!
c'est bienvenu et ça change un peu des musiques chinoises complétement fades et insipides, mièvres, voire gnan-gnan, qu'on entend assez souvent...
Bonsoir Thomas,
Content que ça te plaise.
C'est vrai que ça change de ce que je pouvais connaitre de la musique chinoise.Quelle virtuosité...!
Mais il faut au moins reconaitre que c'est la fadeur de la musique chinoise( type touristique) qui m'a conduit à Liu Fang.je pense m'acheter un ou deux albums de cette artiste.
Tant que tu n'es pas allé en Chine tu ne peux pas juger de l'ampleur de la catastrophe que représente la musique populaire chinoise.
Et le pire c'est qu'en plus d'être parfaitement horripilante et d'avoir des textes à peu prêt aussi gnan-gnan que celui d'un poème de fête des mères (avec des wo ai ni récurrents) ces horreurs sont diffusées partout et à toute heure : pour te lever sur les campus, dans le bus, les magasins, la rue, les monuments et j'en passe...
En un mot comme en cent: imbuvable !
Merci mon fils....
Je vois que ,somme toute, la Chine n'a pas eu QUE des aspects très agréables pour toi......
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